Le Poka Yoké. Pour une amélioration continue plus efficace!
Quand on a le droit de se tromper impunément, on est toujours sûr de réussir. Ernest Renan
L’agilité, et l’empirisme nous accorde le droit à l’erreur pour apprendre, et s’améliorer. Cela ne nous empêche pas de mettre en place des solutions pour verrouiller les erreurs commises, et de ne plus permettre leur reproduction.
Le Poka Yoké vient verrouiller le système, et le rendre « Error Proof » et cela en guidant les équipes dans l’exécution de leur tâche. Cela améliore considérablement les indicateurs temps ,qualité,satisfaction client. Le but essentiel du Poka Yoké est :
- La prévention
- La simplification
- La détection
Au cours d’un processus d’amélioration continue Kaizen, ou PDCA, ou tout simplement lors de nos rétrospective de sprint si l'équipe est en Scrum, on pourra définir nos futures Poka Yoké pour rendre le système résilient à l’erreur, et optimiser ainsi l’effort fourni par l'équipe pour réaliser les tâches.
Exemple de Poka Yoké:
- Les équipes peuvent mettre en place de check liste leur permettant de s’assurer que la livraison en environnement de recette a été bien réalisé.
- Des indicateurs pour persister ou pivoter comme du TDD qui passe en rouge pour marquer une déviation par rapport à l’attendu.
- Un erreur bloquante quand les inputs ne sont pas correcte. Cela permettra de s’assurer que le JDD est bon avant de continuer, et ne pas perdre du temps inutilement lors du développent.
Le Lean, et particulièrement le lean 6 Sigma va vers "zero defaut"="zero erreur" Très utopique comme résonnement ! Sauf qu'il a tout mis en place pour y arriver avec une amélioration continue très rigoureuse, et une capitalisation sur les acquis en automatisant les tâches redondantes qui comportent elle aussi une variation du risque d'erreur très importante.
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